Postez vos poésies !

ce sera une trilogie puis stop.

Petit a petit
Sans faire de bruit
Le doute a surgit
Et nous a envahit

Fonctionnement un peu particulier
Auquel nous nous sommes adapté
Cœur blessé, yeux fermés
Nous ne pouvions rien nommer

Mon fils, mon bébé rêvé
Tu as du mal a te connecter
Il va falloir de la ténacité
Pour t'aider et t'accompagner

Des combats a mener
Des chaines a briser
Des portes a ouvrir
A tout prix
T'empêcher de souffrir

Aujourd'hui tu es un jeune ado
Toi tu as bien avancée
Mais pas cette maudite société
Qui veut te mettre au cachot

Cacher ce handicap
Faire comme si tout va bien
Se donner bonne conscience
Oublier notre chance
De savoir créer du lien

on a tous un combat a mener!
J'ai envie en ce moment d'utiliser les mots!

Aujourd’hui, dans la nuit du monde et dans l’espérance,
 
j’affirme ma foi dans l’avenir de l’humanité.
 
Je refuse de croire que les circonstances actuelles
 
rendent les hommes incapables de faire une terre meilleure.
 
Je refuse de partage l’avis de ceux qui prétendent l’homme à ce point captif de la nuit
 
que l’aurore de la paix et de la fraternité ne pourra jamais devenir une réalité.
 
Je crois que la vérité et l’amour, sans conditions,
 
auront le dernier mot effectivement.
 
La vie, même vaincue provisoirement,
 
demeure toujours plus forte que la mort.
 
Je crois fermement qu’il reste l’espoir d’un matin radieux,
 
je crois que la bonté pacifique deviendra un jour la loi.
 
Chaque homme pourra s’asseoir sous son figuier, dans sa vigne,
 
et plus personne n’aura plus de raison d’avoir peur.
Auteur :
Martin Luther King

(je veux me rappeler ce texte particulièrement fort pour moi aujourd'hui!)

merci bécassine
c'est un très beau texte qui respire l'espoir, la paix, l'amour, aujourd'hui nous en avons énormément besoin encore plus que d'habitude.

Enfant, pourquoi pleurer ?

Enfant, pourquoi pleurer, puisque sur ton passage
On écarte toujours les ronces du chemin?
Une larme fait mal sur un jeune visage,
Cueille et tresse les fleurs qu’on jette sous ta main.
Chante, petit enfant, toute chose a son heure;
Va de ton pied léger, par le sentier fleuri;
Tout paraît s’attrister sitôt que l’enfant pleure,
Et tout paraît heureux lorsque l’enfant sourit.
Comme un rayon joyeux ton rire doit éclore,
Et l’oiseau doit chanter sous l’ombre des berceaux,
Car le bon Dieu là-haut écoute dès l’aurore
Le rire des enfants et le chant des oiseaux.
Guy de Maupassant

joli 

très joli poème ninouche

de Johanne Hauber-Bieth (je lui emprunte et le dédie à celui que j'aime).

Le médecin Poète

Il connaît les secrets du mal de notre temps,
Pour les avoir appris, par de longues études.
Il sait l'horrible fond, les viles habitudes
De l'affection fourbe, et ce ce depuis longtemps.

Trouvant les mots exacts pour donner du courage
Il peut soigner les coeurs, aussi bien que les corps.
Face à la maladie employant les plus forts,
Il écrit les plus beaux quand son luth l'encourage !

la valeur de chaque être est, pour ce médecin,
Unique, enrichissante et pleine de tendresse
Lorsque, encore et toujours, face au mal, il se dresse
En essayant d'occire un cancer assassin.

Il sait que le combat, inégal, sera rude.
Au plus petit espoir il donne le va-tout ;
Au malade inquiet doutant par dessus tout,
Il apporte, attentif, égards, sollicitude.

Etant de cette espèce où les efforts sont rois,
se donnant de la peine, affrontant la menace,
Redoublant de ferveur, déployant son audace :
Il est chevalier au pied des désarrois.

Il goûte le succès en gagnant la bataille.
La perdre sans merci le rend très malheureux :
Pleurer un être cher est un poids douloureux,
Dont il sait le tourment que la Mort avitaille.

Alors trouvant refuge - en rêve "incognito" -
Dans les bras de sa muse, il chante par ses rimes
L'amour et le chagrin, avec des vers sublimes,
Pour parler à notre âme en clamant son crédo !

très joli!

petite prose

il ya peu j'étais comme un marin sans bateau, à terre, désoeuvré, maintenant j'ai repris les flots et je suis sur le pont de mon bateau, j'ai mis le cap vers mon île mystérieuse, toi mon amour que je découvre au fil du temps, que j'aime en regardant les soleils couchants, horizon de mes nuits, soleil de mes pluies, tel un arbre robuste, je rêve de m'asseoir sur tes branches.

une autre

Un an pour aimer

Alors aimer, oui, mais qui ?
J'ai cru en ma bonne étoile, chassé les mauvaises rencontres et il est venu tel un ange, là s'asseoir sur mon olivier.
J'ai rêvé, oui mais comment ?
J'ai regardé le ciel, appris les nuages, les oiseaux, la nature et compris qu'imaginer la vie aidait à sa concrétisation.
J'ai partagé, regardé, aimé les autres, ouvert mon coeur lorsqu'il voulait se refermer.
Quand les jours étaient ternes et plus froids, j'allumais des bougies, et je souriais même si mon coeur soupirait.
J'avançais et me recentrais sur ma vie ; enfants, famille, je les remerciais.

J'ai déployé mes ailes et me suis envolé dans les nuages, j'ai croisé le mont Olympe et bu l'ambroisie. 
Puis j'ai posé mon esprit et croisé la sagesse, je me suis posé sur mon olivier et j'ai attendu, mon amour est venu.

Notre admin est poétique et... romantique en cette rentrée

 oui depuis quelques mois, je respire !! et j'ai de l'inspiration hihi, merci pour le boulot que tu fais ici 

Paris et l'amour

Il pleuvine sur Paris, le jour se lève
Dans mon coeur, il fait bon, si beau
Ce matin sera semblable aux autres, agité, sans trêve
Quartier populaire, vente à la sauvette, ici pas de pont Mirabeau

Bientôt je poserai mes mains sur ta peau, effleurerai tes cheveux
Ecouterai ta voix fine et douce, te regarderai, éblouie
Doux moments d'alchimie entre deux êtres, un matin à Paris
Le jour se lève peu à peu par ici, tu seras si radieux

Ville de tous les excès, de tous les secrets
Tu y es mon horizon, mon étoile, la voie lactée
Je m'évade, je m'envole suivant tes pas
Pour m'échapper lentement aux dessus des toits

La ville n'est plus mon fardeau
Tu m'as offert un petit radeau
Maintenant je navigue suivant ton courant
Et traverse les eaux de la ville, sens ascendant

Il pleuvra sur cette ville, belle et si fragile
Quelques s'agiteront dans la débâcle, la torpeur a disparu
J'écoute la ville qui s'éveille et entend tes mots volubiles 
J'ai traversé ta vallée, oubliant furtivement les bruits de la rue.

Km.

je me lance aussi, vous me direz ?


 
 
 
 
 
 

merci Tay,
joli toutes ces poésies, encore !!!